intimidations

Publié le par PARTI RADICAL 95

Vraiment l'attitude, et de Jean-François Copé, et du Premier Ministre, laisse rêveur. Comment dans une démocratie comme la nôtre peut-il y avoir pareille intimidation à l'égard de Jean-Louis Borloo et de ceux qui le suivent en s'écartant de l'UMP ? Cette tentation de saborder la plus que probable candidature de notre président du Parti Radical se révèlera totalement contre-productive. Nous allons vouloir relever ce défi avec Jean-Louis Borloo d'aller présenter notre projet sans se préoccuper des autres formations politiques et encore moins de l'UMP qui n'est pas notre adversaire. nous ne le répèterons jamais assez. Mais il ne peut pas y avoir en France que le choix binaire entre droite et gauche, frontière artificielle que franchit allègrement le Front National. Et si ce dernier a autant d'attrait aux yeux de français de plus en plus nombreux, c'est bien parce que le duel UMP PS n'est plus aussi intéressant et crédible. Je parle bien du duel et non des idées, dont nous espérons fortement qu'elles soient au centre du débat, plutôt que d'avoir une campagne présidentielle au cours de laquelle rôdera en permanence le coup bas, la diffamation, la rumeur médisante. Je suis de ceux qui pensent qu'aujourd'hui notre Manifeste doit être porté par JL Borloo pour soumettre un programme de gouvernement à la réflexion de nos concitoyens. Les "modérés" se retrouveront dans nos propositions et la gouvernance que nous mettrons en place, dans le but de reconstruire une société "apaisée et solidaire", capable de remettre en fonction l'ascenseur social et de redonner le goût d'entreprendre et de réussir dans notre pays sans être montré du doigt ou suspecté de malversations ou conflits d'intérêt. Alors que vive notre démocratie; et rejettons cet "étouffoir" qui se fait jour. Nous croyons en nos idées et nous les défendrons. Ma seule crainte; que nos concitoyens ne croient pas vraiment que JL Borloo ira jusqu'au bout, d'autant plus qu'il tarderait à officialiser sa candidature. Mais cette très lourde responsabilité est bien prise en considération par notre leader, et c'est tout à son honneur de prendre le temps de se préparer, de réfléchir encore au projet qu'il va devoir porter avec enthousiasme.Nous l'y aiderons, convaincus qu'en 2012 nous pourrons "exister" et que nous serons reconnus par nos concitoyens comme des responsables politiques capables de faire bouger les lignes et de réussir pour notre pays, à l'écoute des gens. Michel Montaldo
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